Terminale S

• Lors du premier contact avec l’antigène X :

différents clones de lymphocytes B sont sélectionnés.
la réponse immunitaire adaptative est immédiate.
seul un clone de lymphocytes B et T4 est sélectionné.

• Lors du deuxième contact avec l’antigène X :

les lymphocytes T fabriquent plus d’anticorps anti-X.
les lymphocytes B fabriquent plus d’anticorps anti-X.
les lymphocytes B et T fabriquent plus d’anticorps anti-X.

• Lors d’un deuxième contact avec l’antigène X :

la réponse immunitaire est plus rapide et quantitativement plus importante.
la réponse immunitaire est plus lente et quantitativement plus importante.
la réponse immunitaire est plus rapide et quantitativement moins importante.

• Les anticorps anti-Y fabriqués sont :

spécifiques de l’antigène X après la deuxième injection de l’antigène X.
spécifiques de l’antigène Y après la première injection de l’antigène Y.
présents dans l’organisme dès la naissance.

• L’exploitation seule de l’expérience 1 permet de dire que le curare :

agit sur la jonction nerf-muscle.
agit sur le muscle.
n’empêche pas le message nerveux de circuler dans le nerf.
permet la contraction musculaire.

• L’exploitation seule de l’expérience 2 montre que le curare :

empêche la circulation du message nerveux au niveau du nerf.
empêche la contraction du muscle.
agit uniquement au niveau de la jonction nerf-muscle.
agit à la fois sur le nerf et sur le muscle.

• La mise en relation des trois expériences montre que :

le curare agit directement sur le muscle.
le nerf ne véhicule pas le message nerveux en présence de curare.
le curare n’agit pas sur la jonction nerf muscle.
le curare agit sur la jonction nerf muscle.

Les Alpes résultent le la collision de deux plaques et correspondent à la fermeture d’un vaste océan : l’océan Alpin aussi appelé Téthys. Cet océan à aujourd’hui complètement disparu.
Quels sont les témoins de cet océan disparu?

1. Les traces de la marge passive de l'océan Alpin.
   • Le document 1 montre les blocs basculésdes Grandes Rousses, du Taillefer et de la Mure. Ils sont limités par des failles normales et recouvert de sédiments en éventail qui reposent sur le socle primaire.
   • On nous précise que ces blocs basculés sont le vestige d'une marge continentale passive.
   • Les dolomites du trias qui sont parallèles au socle correspondent à des sédiments pré-rift (ou anté-rift), déposés avant la phase de rifting.
   • Les calcaires et schistes du Jurassique Inférieur et moyen correspondent aux sédiments syn-rift, déposés pendant la phase de rifting.
   • Les calcaires et marnes du Jurassique supérieur et Crétacé (Le Rochail) correspondent à des sédiments post-rift, déposés après la phase de rift, pendant l'ouverture océanique proprement dite, ils sont en couches parallèles horizontales.
   • Les sédiments du Jurassique et du crétacé contiennent des fossiles d'animaux marins: Belemnites, Ammonite, Calpionelles et Crinoïdes, preuvent qu'un océan existait à ces époques.
   • Ces blocs basculés témoignent donc de l'épisode de rifting qui a permis la mise en place de l'océan Alpin.
2. Des traces d'une ancienne lithosphère océanique.
3. Des marqueurs d'une subduction.
   • Dans le matagabbro à glaucophane : la glaucophane  (nouveau minéral) se trouve localisée au niveau de la limite entre les cristaux de pyroxène et de feldspath plagioclase et forme une auréole autour du pyroxène.. C’est la présence de cette auréole qui permet (donc) de suggérer (hypothèse) qu’une réaction de métamorphisme peut intervenir entre deux minéraux voisins. Le domaine de stabilité de la glaucophane est assez réduit Il correspond à des températures comprises entrez 200 et 600°C et des pressions comprises entre0,5 et 2 GPa . Si l’on retrouve de la glaucophane dans une roche il est donc possible d’en déduire une fourchette pour les températures et pressions auxquelles la roche a été soumise (= domaine de stabilité de la glaucophane) : La glaucophane est donc un thermo baromètre intéressant de la subduction.